50 manières de tuer un festival

PARTAGER CET ARTICLE ► 
|  Article suivant →
s’abonner
 

Enfin
des cadeaux intelligents !





   




< Articles

50 manières de tuer un festival

PARTAGER ►

par Thomas Hahn
Télécharger la version PDF  



Qui veut noyer un festival dans la capitale, dit qu’il y a Paris Plages... En 1975, Paul Simon chantait son « Fifty ways to leave your lover ». Aujourd’hui en France, on accuse les précaires de nuire aux festivals de l’été, de détruire ce qu’ils aiment par-dessus tout : leurs festivals. Pourtant, deux généreux et utopistes rendez-vous parisiens viennent de faire l’expérience qu’il y a bien plus nuisible qu’une grève des intermittents du spectacle.

Comme par hasard, les deux festivals en question œuvrent à la marge, enrichissent le paysage et n’existent que grâce à l’énergie colossale investie par leurs fondatrices : D’une part, « En compagnie(s) d’été » (13ème année) e[...]

Pour lire la suite de cet article,

ABONNEZ-VOUS

(abonnement annuel ou mensuel)

Déjà abonné ?

Connectez-vous !




fake lien pour chrome




Partager cet article /  





Réagissez, complétez cette info :  →
Qui êtes-vous ?
Votre message

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.



Infos, réflexions, humeurs et débats sur l’art, la culture et la société…
Services
→ S’abonner
→ Dons
→ Parutions papier