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Castellucci, « Orestie (une comédie organique ?) » : l’art de la transgression efficace

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par Jean-Jacques Delfour
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La force de ce spectacle tient à l’agrafage de transgressions qui ne laissent guère en repos le spectateur. Leur cumul produit cet effet de sidération typique de l’esprit empêtré dans une contradiction (car la transgression nie et affirme en même temps). Opter, de manière réactionnelle, défensive, pour l’adhésion extatique (« C’est génial ! Quel grand artiste ! ») ou pour le rejet (« Quelle honte ! Quel scandale ! »), c’est, dans les deux cas, tenter de briser l’emprise de la contradiction. Mais c’est aussi un indice de réussite : la division du public entre pour et contre l’œuvre, pourvu qu’elle soit assez passionnelle, est l’assuran[...]

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Théâtre Toulouse Théâtre National de Toulouse Romeo Castellucci
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